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mardi 29 septembre 2015

San Antonio de Areco

San Antonio de Areco 50KM de route de Baradero.
Nous arrivons dans un petit village à l’ambiance familiale.  C’est la fin d’après midi mais c’est le WE, tout le monde est sorti, il fait beau, on boit le mate dans la rue. Nous croisons un couple parlant français! et qui nous invite à nous garer non loin d’eux, il y a la WIFI. 

Enfin, WIFI c’est une façon de parler, cela ressemble plus au débit des années 2000 en France quand vous deviez choisir entre internet et le téléphone.
Jacques et Martine sont en fin de boucle. Cela fait deux ans qu’ils sont sur la route. Ils ont pris du temps avec nous et cela nous a permis d’avoir pas mal de bons tuyaux, les applications indispensable, les bons plans pour l’eau, le gaz, les coins sympa ou dormir. Et surtout, l’Atlas des routes de l’Amérique du Sud (le fameux Atlas de rutas qu'il faut absooolument avoir, paraît-il!). Un grand merci à eux deux. Nous avons de plus partagé une éclipse de lune ensemble.



Le lendemain Samedi, école le matin, nous avons du retard, il faut bosser, c’est fini les vacances. L’après midi, visite de San Antonio, passage à l’office du tourisme. Il y avait beaucoup de monde dans la rue, des spectacles, des danses folkloriques.
San Antonio est une escale importante pour la coutellerie mondiale. Ce village est réputé pour ses confections traditionnels de poncho, de couteaux et d’orfèvrerie. Nous avons bien bavé devant les couteaux avec Mathurin tandis que les filles elles se préoccupaient de bibelots et autres objets. 

 En passant devant l’église, on entre et là c’est la grande préparation pour la « misa de domingo ». Nous nous renseignons et la messe est dans 15 minutes. Nous reviendrons mais nous voulons finir notre visite, nous avons commencé notre recherche pour une poubelle et ce n’est pas une mince affaire. Il la faut petite pour ne pas encombrer notre 6m2 mais il faut aussi qu’elle soit assez grosse pour qu’on ne la vide pas toujours. Mais pas trop pour qu’il n’y ait pas d’odeur. Vous l’avez compris, le débat n’est pas encore fini même si on sait bien qui aura le dernier mot…


Après une messe à laquelle nous n'avons pas tout compris, il faut bien l'avoué. Mais l'essentiel n'est pas là!!! C’est empañadas, spécialité d’Amérique Latine dont nous abusons depuis notre début d’itinérance. L’empañadas est de la pâte feuilletée avec au milieu de la carne, du jamon y queso ou de la verduras. Finalement après avoir cherché nous nous rabattons sur des hamburgers Argentins qui sont secs, froids et globalement pas terribles mais qui nous économise un repas.

Dimanche, nous voulons allez faire du cheval. On nous a dit que ce serait facile mais en fait cela demande quand même de chercher un peu et de passer des coup fil en Espagnol. Et en plus il pleut. On se rabat sur le musée du Gaucho (museo Gauchesco) ou Mathurin et Philomène nous aurons permis d’appréhender au pas de course les galeries de tableaux et d’objets diverses.
Heureusement, il y avait des canons et nous avons pu jouer à la guerre!
 


 La pluie s’arrête enfin et nous pouvons espérer faire du cheval. Nous arrivons tard mais la personne nous dit que pas de problème, c’est possible.

Il va chercher ses chevaux, les selles et nous ferons deux tours de champs. Oui, 2 tours mais le champs est grand.


Heureusement, le soleil se couche et nous pourrons faire les gauchos en rentrant le troupeau de vache. Mathurin s’y croit. Le soleil couchant, les vaches, les chevaux c’est magique.




 Super sympa !



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